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Bienvenue sur ce blog !

 

Ce site est le résultat d'un amour et d'une fidélité assez indéfectible au cinéma en général, et au cinéma coréen en particulier. En l'occurrence pour nous, il y a eu un avant et un après Oldboy. C'est vrai que c'est très banal d'associer "nouvelle-hype-trop-sympa-ultra-coréenne-cinéma-du-monde" et Oldboy. Souvent même on ne connaît que Oldboy.

 

En ce qui nous concerne, c'est une question de religion. On ne déconne pas avec les choses sacrées. Oldboy, c'est tout simplement la raison d'être de ce blog. C'est peut-être notre plus grande claque cinématographique jamais prise dans les dents. Après ce dépucelage héroïque, forcément on s'est dit qu'il devait y avoir pas mal de choses intéressantes du côté du pays du matin calme niveau cinéma, que ce soit du point de vue des oeuvres prises individuellement ou du mouvement général dans lequel s'incrit le cinéma coréen. Et on n'a pas été déçu.


Attention, on est conscient qu'il y a de sombres bouzes en provenance de ce pays. Nous, on a une certaine idée du cinéma, une certaine idée du cinéma coréen (et une certaine idée de la France). Et on a la chance d'avoir trouver dans cette certaine idée du cinéma coréen tout notre bonheur.

 

Malheureusement, on trouve qu'il y a un certain déficit d'audience du cinéma coréen en France et surtout un manque de travaux écrits relatifs aux films. C'est pour ça qu'un jour on s'est dit qu'il en allait de notre responsabilité historique et nationale de répondre à l'appel du 18 juin des plus grands réalisateurs coréens. Sans Congo, la main sur le coeur, pleurait à chaudes larmes. Joy Means Sick entamait sa grève de la faim contre l'abandon du système des quotas qui assure la production cinématographique coréenne. 

 

Ce blog est donc l'occasion de petits textes libres par lesquels on présente les films, sans ordre particulier. Ces textes sont souvent conçus pour eux-mêmes, à savoir qu'on essaye au maximum de faire en sorte que le texte puisse être lisible indépendamment du fait d'avoir vu le film ou pas. Lorsque c'est possible, on essayera de mettre un lien pour visionner le film. Parfois même, on écrit des textes transversaux pour étudier tel ou tel aspect du cinéma coréen. Pour les films, on ne sélectionne pas vraiment et on tente d'être les plus larges possibles dans les choix (comédie, action, thriller, science fiction, drame, etc.). Chaque vendredi, on poste les trailers du film qui fera l'objet d'un article le lundi suivant (pour les trailers, c'est par ici). Enfin, chaque mercredi, on poste la vidéo de la semaine (cliquez ici) qui montre un passage de film qu'on a trouvé sympa.

 

Bien évidemment nous n'avons pas la science infuse (quoique la question pourrait se poser). Mais on kiffe le cinéma coréen, et ça suffit.

 

Sinon quelques mots sur les coauteurs du blog.

 

Tout d'abord Joy Means Sick. Ancien champion olympique de saut à la perche, ce natif d'un petit bourg du nord de la Norvège apprécie par dessus tout la pêche au thon, les sports de combats et les vertus théologales que sa foi rigoriste lui enseigne. D'un abord rude et froid, il est le père d'une douzaine d'enfants reconnus. Il est cependant capable d'attendrissement, notamment lorsqu'il assiste à la copulation de deux pics épeiches.

 

Sans Congo est quant à lui un être humain marron, tassé comme un parpaing, généreux et volubile. Il admire la poésie du XIIIème siècle et ne jure que par les wagons-lits. Originaire du désert d'Atacama, il n'a jamais vraiment su s'adapter aux moeurs urbaines. Reprochant à la société moderne son égoïsme et son aveuglement, il s'adonne régulièrement à des prêches dans différents locaux associatifs. On peut l'apercevoir quelques fois sur le parvis de Notre-Dame avec son instrument.   

 

Voilà, en espérant que vous passerez un agréable moment sur ce blog !

 

Joy Means Sick & Sans Congo.

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