To You Form Me, Jang Sun-woo, 1994 Article de la série : les carnets roses de Joy Means Sick et Sans Congo, Yo poto, On m’a dit que chez toi c’était le couvre-feu de la mort à cause d’une vache qui aurait foncedé toute la cantine de ton bahut en mode...
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L'Ivresse de l'Argent, Im Sang-soo, 2012 Joy Means Sick avait mal au dos. Les deux masseuses asiatiques qui s’échinaient sur son corps endolori lui relaxaient davantage l’âme que les lombaires et il ne pouvait s’empêcher de repenser à ce coquin de Darcy...
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Introduction : la rédaction poursuit ici sa série "les carnets roses de Joy Means Sick et Sans Congo", échange épistolaire entre deux adolescents qui débuta au cours d'un article sur Stateless Thing s (cliquez ici) de Kim Kyung-mook et qui s'est poursuivi...
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Avertissement : Le thème du caca a déjà été traité en long, en large et en travers, dans un exceptionnel article que nous avons consacré au film d’animation sudco Aachi & Ssipak, excellent au demeurant. Nous vous invitons donc à vous reporter à cet article...
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Helpless, Kim Soo-hyun, 2012. « Aussitôt vu, aussitôt oublié. Long et fade ». Bim prend ça dans ta face, East Asia et Julien Thialon ont parlé. Le ton est sec, le verbe exclu et la marge pour une réponse réduite au maximum. Deux adjectifs et autant de...
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Ashamed, Kim Soo-Hyun, 2011 Ashamed, c’est déjà un plaisir coupable à la base, un film qui te drague avec une bande annonce improbable, une musique qui titille nos papilles d’ados des années 90 et un festival d’écharpes façon arc-en-ciel, le double rainbow...
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Stateless Things, Kim Kyung-mook, 2012 Disclaimer : ces propos sortent de l'univers mental de Joy Means Sick à l'âge de 14 ans, survète Sergio Tacchini, 3310 et tout. Il écrit à son pote Sans Congo, envoyé en pensionnat il y a deux ans dans la région...
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Love Fiction, Jeon Kye-soo, 2012 Attendre Godot ou mourir, enchaîner deux comédies sud-coréennes en une aprem, il y a des jours où le destin porte le masque du défi roublard et absurde. Tout étourdi des litres de lol potache qui ont infusé dans la prunelle...
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Penny Pinchers , Kim Jung-hwan, 2011 Première séance du FFCP pour KBP, quelques balbutiements, comme si le succès de la soirée d’ouverture (qu’on a snobé à défaut d’avoir des places réservées en nos noms propres et pour nos parents, troisième rang, bien...
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A moins de vous appeler David Tredler ou d’être un programmateur du festival – et encore – vous n’aurez très certainement pas la possibilité de voir tous les films du FFCP 2012. Comme le plus important reste d’entrer par le milieu, voici quelques sélections...
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